Donne-moi ton pardon.
Dans la notion relative – temps, existent dans passé, présent et … monde souterrain, les héros de « Donne-moi ton pardon »
La Grand-Mère, le passé, existe réellement, le présent – la fille – Beïbie et la Grand-fille, aussi le Tué et l’Etudiant existent aujourd’hui et maintenant.
Le Tué, qui fabriqua son assassinat et ses funérailles, habite maintenant sur d’autres latitudes géographiques. L’étudiant, qui étudie les signes célestes, découvre l’étoile Amour à la Grand-mère et Ilïa.
Si quelque chose ne se passe pas ici et maintenant, se passe là quelque part, autre part, avec d’autre énergie, dans l’inconnue,… monde souterrain.
Ilïa, du monde souterrain, envoie ses messages… Parce qu’il y a Amour, il y aussi le Pardon Universel !
2005 – participe dans le concours de radio BBC – London
2008 – Une de 8 pièces choisies en Festival International « Fêtes de Drume » Shoumen
PERSONNAGES (3m, 3f):
La Grand-Mère
La fille – Beïbie
La Grand-fille
Ilïa
Le Tué
L’Etudiant
L’action se développe dans le présent, le passée et dans le monde souterrain.
La grande-fille : Ma grand-mère fut une femme très forte. Et les gens ont droit à dire – C’est la voix du sang… Elle, grand-mère, rencontra son grand Amour, celle, qui est unique… Dans ces temps et l’amour était différente et tout était différent. Sa sonne comme une compte, mais c’est la vérité…
Maman est jolie, très jolie est maman… comme vedette de cinéma. Je me sens pas jolie moi… Et je ne serais jamais comme elle. Maman a charme, enchantement,… elle peut tout… Ou au moins c’est ce que je pense… Ou bien – elle pouvait tout… Avec toi, mon père, nous n’étions pas si proches, nous nous voyions rarement. Toi, tu étais absent. Voyageait… Tu n’étais pas là. Avec des mois tu ne revenais pas, après tu revenais et tu dormais… Profondément, très profondément/ allume une allumette. Allume une bougie./
Beïbie :- Je t’ai accouché une fille extraordinaire n’est-ce pas ?... C’est vrais, elle ne rassemble pas à moi, elle n’est pas si jolie, mais l’enfant a l’Esprit. Eux, les jolis, je vise moi, sont si malheureux… J’espère qu’elle soit heureuse… J’Espère. Et s’ils l’ont endommagée ?!... Alors quoi ? Bâtard, ça je ne vais pas te pardonner même après la morte… Jamais !... Jamais !... Tu m’entends ?! N’importe où tu es !?... Je prie le Dieu que ça ce n’est pas passé, je le prie. De mon âme et mon cœur !!! Tu m’entends, Dieu !?! /chuchote une prière/
La Grand-Mère :- J’étais a côté de toi dans le lit… Nous nous avions. Le temps était passé. « Tu peut pas. Ah ? »… « Tu peut pas avoir mon enfant ? »… Ta voix dans l’obscurité… Je l’entends encore… Chaque nuit, chaque fois, tu répétais ça… Ta voix !... C’était comme une gifle pour moi !... Apres, j’ai commencé d’entendre… un chuchote étouffé «Elle peut pas avoir des enfants »… Comme marquée. Je sentais. Femme, qui sert à rien… Je marchais, je savais pas ou je marche. Je savais pas qu’est-ce que je vois, je parlais, je savais pas qu’est-ce que je parle. Comme folle, folle… Je ne pouvais pas m’endormir et je pensais, a côté de toi dans le lit… Je pensais… Est c’est arrivé. Il est venu… Notre fils ! Tu te rappelle, Ilïa ?! Quel bonheur, quel grand bonheur. Tu étais si heureux que tu t’as enivré, et tu as chanté, et tu as crié : « Fils !... J’ai un fils ! ». Tu étais heureux. Et moi, avec le cœur dans la gorge, je rias mais j’avais peur. J’avais peur que tu comprennes. Il, Georko, il rassemble a toi. Quand même c’est toujours votre sang. Pardonne moi, mon Dieu ce pèche… Pardonne-moi !... Papa, c’est de lui… De ton père. /cloche/
* * *
La Grand-Mère :- « Ilïa, je suis venue ! »… Tu n’as pas dit ni un mot. «Tu n’es pas content de me voire ?!... Je ne peux pas revenir sur mes pas… Je suis ici ! Je reste chez toi ! »… Tu m’as contemplé longtemps, très long temps, et après quand tu as éclaté… Orage !... Bonheur, des câlins, tu étincelais… Et tu répétais, que ca peut pas être, ca peut pas être… Tu te souviens ?!... Ca s’oubli pas ?!... « Et c’est tout ?! Tu montrais du doit le sachet avec l es vêtements et tu riais. – Et nos champs ?!... Et notre terre ?! » Tu n’as pas reçu d’argent quand tu m’as pris pour épouse, j’étais maudite et rejetée, mais c’était toi celui, qui a dit premier pour le feu. Chaud, chaleur étouffante, chaud, il n’y a pas l’aire à respirer, jour horrible… Nous somme sur les champs, travail infinie. Moi, sous pénombre j’allaite l’enfant. J’ai senti fumé, quelque chose brulé… « Ca brule ! – tu as crié. Notre blé brule ! Putain ! » Et avant que j e comprenne ou et quoi brule, tu courrais. “Ilïa!” – j’ai crié après toi, tu ne m’as pas entendu, tu courrais à travers le champ comme fou, j’ai prit l’enfant et j’ai commencé à courir après toi.
Je pleurais, je serais l’enfant, je ne pouvais pas t’attraper… Tu volais… Tu es entré directement dans l’église. La cloche a commencé à sonner ! Comme fou ! « Incendie ! Le blé est en flammes !... Le pain brule ! » Criait – il avec la voix enroué. Et la cloche sonnais et sonnais. Bim – bam - boum… Tu te souviens, Ilïa, tu te souviens ?!... Les champs de mon père étaient en flammes. Tu les as sauvés !... Les courrais au secours, panique, bruit et l’incendie était étouffé. Moi, avec l’enfant dans les bras, au bout de souffle, comme ombre, je te suivais… Toi tu appelais les gens, courrais, ici, là, donnais des ordres et finalement l’incendie était étouffé… Tu as réussit !... Vers la fin de la journée, mon père est passé à côté de la maison. Il n’a rien dit. Il t’a regardé un instant, n’as pas dit merci, moi il m’a même pas regardé et il a continué… L’injure était plus forte que la gratitude. Il a perdu sa fille, il ne tenait pas si beaucoup à ses champs qu’à sa fille… Oui, Ilïa, oui !... Comment tu sonnais avec la cloche, comment tu sonnais. Avec ton cœur !... Tu voulais aider et tu as aidé !... A moi, comment tu m’aidais, comment ? Tu m’avais, n’est-ce pas ?!... Dés la première fois… Nous se somme couchés dans le foin… Des étoiles beaucoup des étoiles… j’avais la tête sur ton bras…
- Regarde, c’est la voie lactée !
- Je sais.
- Il est comme une coupole au dessus de la terre.
- Et tu vois cette étincelante étoile qui est seule ?!
- Laquelle exactement ?
- Là, à côté de la voie.
- Oui !
- Et de l’autre côté, juste en face de la première tu vois une autre, plus petite ?
- Ou je dois regarder ?
- Juste en face de la première. A travers la voie.
- Oui !... Je l’ai vue… Et quoi ?
- Elles sont séparées… Pour toujours… Ils ont péché… Et c’est la punition de leurs âmes… Jamais de ne s’est pas rencontrer… Toujours, entre eux sera la voie lactée.
J’avais si peur alors. Comme si je voyais signe. Je ne voulais pas que quelque chose nous sépare.
- Pourquoi tu me racontes ça ?
- Pour que tu saches… Rien ne reste impuni.
- Moi, je vais passer par la voie lactée… je promets…